Teny iditra vany
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny malagasy Taolana tsirairay amin'ny hazondamosina [1.13]
Fanazavàna teny frantsay Vertèbre [1.13]
Voambolana 
Tovy hevitra tritry
Kamban-teny 
Anaram-javamaniry 

Teny iditra vany
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny malagasy Ny faritra anelanelan' ny tonony roa: Fary lava vany. [1.1]
 Faritra anelanelan'ny tonony roa mifanaraka [1.13]
Fanazavàna teny frantsay La partie placée entre deux noeuds, comme dand la canne à sucre, comme les phalanges des doigts [1.3]
 Entre-noeud [1.13]
  [Betsimisaraka] Nom relevé par Chapelier en 1804 avec la graphie « vané ». Noeud et surtout entre-noeud des bambous et autres tiges ayant des noeuds très apparents. D'où le nom ancien marovany de l'instrument de musique aujourd'hui appelé valiha. « Le marou-vané, écrit Chapelier, est fait d'une portion de tige de bambou, entre deux articulations, ayant sept cordes formées de fibres longitudinales qui composent la tige ligneuse de cette Graminée et qu'on en sépare en les levant avec la pointe d'une sagaie, et qu'on amenuise ensuite avec un couteau. Les petites cales qu'on met aux deux extrémités de chaque corde, c'est-à-dire entre la corde et le corps de l'instrument, servent à régler les tons qu'on hausse ou qu'on baisse en rendant les cordes plus ou moins lâches ou plus ou moins tendues par leur moyen. Cet instrument rend des sons assez harmonieux, plaît même, lorsqu'il est touché par des mains exerceae à le manier et pourrait, dans celles de nos artistes, devenir susceptible de perfection ». Lettre de L.A. Chapelier reproduite dans le Bulletin de l'Académie Malgache 10, p. 306 (1912). [1.196]
Voambolana 
Kamban-teny 

Fivaditsoratra 

Nohavaozina tamin' ny 2023/08/11